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19 mai 2010 3 19 /05 /mai /2010 09:11

nos-propositions-pour-les-retraites_16564.pngRetrouvez toutes les propositions du PS et le quizz sur les retraites en cliquant sur la barre ci dessus.

 

Le PS propose une réforme juste, efficace et durable, à travers 4 grandes priorités :

 

> Garantir le niveau de vie des retraités, menacé par les réformes de 1993 et 2003, qui n'ont rien réglé.

 

> Faire une réforme juste, en mettant à contribution tous les revenus, y compris ceux du capital; en prenant en compte la pénibilité; en maintenant l'âge légal de départ à 60 ans.

 

> Faire une réforme durable, avec un financement qui pérennise notre système par répartition,

 

> Des garanties collectives pour davantage de choix individuels, dans un cadre universel, solidaire et protecteur qui prenne en compte les parcours personnels.

 

L’ensemble des mesures prévues permet d’assurer l’équilibre du système à l'horizon 2025.  

 

Recettes : ressources nouvelles (37 milliards d’euros), amélioration de l’emploi des seniors ( 6 milliards d’euros) effets des mécanismes de "retraite choisie" (5 à 10 milliards)

 

Dépenses : déficits prévus par le COR (45 milliards d’euros), prise en compte de la pénibilité (5 milliards d’euros) Le fonds de réserve des retraites sécurisera l’ensemble du dispositif.

 

La note complète est disponible ici

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1 mai 2010 6 01 /05 /mai /2010 10:23

harlem-desir.pngJeudi soir à Brest, le conseil fédéral du Finistère a accueilli Harlem Désir venu présenter les travaux de la convention nationale pour un nouveau modèle de développement. Harlem Désir, chargé de la coordination, est le n°2 dans l'organigramme socialiste. Pour beaucoup de militants, cette présentation a été l'occasion de découvrir le document de travail... Si le conseil national a validé le texte à l'unanimité, les amendements devraient encore enrichir la version actuelle.

Le document est, contrairement à la plupart des textes de motions socialistes de congrès, plutôt abordable, lisible et compréhensible.

 

La perspective des primaires ouvertes aux sympathisants n'est sans doute pas étrangère à la forme du texte. En effet, les socialistes ne doivent plus seulement parler aux socialistes mais aussi s'adresser à la gauche et aux français. Et c'est un bien pour tout le monde! Si les primaires ont encore des détracteurs, c'est que ces derniers sont encore attachés aux logiques d'appareil... Et comme le disait un jeune camarade récemment élu au conseil régional, ces primaires sont un "couvercle" sur la marmite! Cela met un frein aux batailles d'égo, au jeu de postures, et aux petits arrangements entre grandes fédérations.

 

Bref, un PS en bonne santé est un PS qui travaille sur le fond et parle des sujets qui concernent la vie des français... pour enfin incarner l'alternative!

 

 

 

 

 

 

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27 avril 2010 2 27 /04 /avril /2010 12:11

diablotin.jpgCher Bernard, cher camarade,

 

Je reçois régulièrement par mail "A propos... la lettre de Bernard Poignant" où tu fais part de tes analyses politiques. J'apprécie souvent la pertinence de ton jugement mais, coup sur coup, tu viens de "pondre" deux billets qui m'ont hérissé le poil.

 

Tu déclares à propos des primaires que  "le diable est dans les détails"... Passe encore ton coup de canif incohérent sur le supposé "pacte de Marrakech" entre Fabius-Aubry-Montebourg-Strauss-Kahn qui, selon toi, fausse le résultat alors que tu juges pourtant "surréaliste" le tour éliminatoire si il y a pléthore de candidats. Mais la remise en cause du vote des militants fin 2009 est pour le coup véritablement "diabolique"!

 

Tu déclares qu'"il fallait de toute urgence donner du grain à moudre et revêtir les habits de la rénovation"... Tu considères donc que les militants ont voté comme des godillots pour légitimer notre premier secrétaire après une année désastreuse pour le PS. Ainsi, si j'ai bien compris, les militants se sont trompés de vote et les instances nationales devraient s'asseoir sur le choix démocratique de primaires qui vaut peanuts? Tu me rétorqueras que du côté de Dijon et  de Lyon il y en a même qui se sont engagés à "démentir dans les faits" le vote sur le "partage des mandats" alors pourquoi s'embêter avec une décision collective hein?

 

Franchement Bernard, si un socialiste n'est pas capable de s'imposer dans une primaire à gauche "à la française", comment espérer gagner les élections présidentielles?

 

J'ai aussi lu avec attention tes propositions pour le "calendrier" idéal. Selon toi "juin garantit une bonne entrée en campagne" alors qu'"octobre ou novembre ne garantissent pas une bonne sortie des primaires." Ah bon et pourquoi donc? François Hollande a fait la même analyse, sûrement dans l'intérêt de la gauche et des français, mais tes explications méritent quand même un approfondissement...

 

J'estime qu'une désignation trop hâtive de notre candidat(e) risque de l'exposer inutilement aux coups de boutoir de la machine médiatico-politique pendant une année pleine. Les campagnes les plus courtes, avec le socle du projet solide sur lequel le parti travaille dejà, peuvent s'avérer les meilleures...

 

Au plaisir de te revoir à Clohars-Carnoët cet été sur le circuit des "Arts en Ballade" ou, si tu souhaites faire du sport de nature, découvrir la nouveauté "pass nature"!

 

Amitiés socialistes

 

Jérôme Le Bigaut

 

Militant socialiste de Clohars-Carnoët

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22 avril 2010 4 22 /04 /avril /2010 14:01

1_482.jpgPierre Moscovici a présenté mercredi le document de travail de la "convention nationale pour un nouveau modèle de développement" : Pour le télécharger, cliquez ici

 

Un «nouveau modèle qui soit fidèle à nos valeurs de toujours (la recherche de l’égalité, la démocratie sociale et politique, le progrès, la régulation, l’internationalisme, l’engagement européen), mais en privilégiant fortement le long terme et en tâchant de bâtir une société du bien être», confie Pierre Moscovici dans une interview parue aujourd'hui dans Libération. 

 

Dans son rapport, il écrit que les socialistes, face aux «fausses solutions des droites libérales et conservatrices» ont «une nouvelle civilisation à inventer». Il ajoute que «la crise et ses bouleversements appellent à bâtir une alternative». Pour s’atteler à ce grand chantier du projet, Moscovici propose une «approche multidimensionnelle»: «Elle est économique, avec un socialisme de la production, mettant fortement l’accent sur le volontarisme économique, la modification écologique de nos modes de production et de consommation. Elle est sociale, avec le rétablissement de la justice fiscale». Sur ce point, le projet prévoit «la création d’un grand impôt citoyen progressif qui marie l’actuel impôt sur le revenu et la CSG».

 

Pierre Moscovici était ce matin l'invité d'Eric Delvaux sur France Inter. Vous pouvez retrouver la vidéo de cette interview en cliquant ici.

 

 

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19 avril 2010 1 19 /04 /avril /2010 10:22

reussir-notre-revolution-de-l-age-par-martine-aubry-tribune.pngEn ce début de XXIe siècle, la France a franchi le seuil des 80 ans en matière d’espérance de vie totale. Ce sont des années gagnées, des années utiles pour soi-même et pour autrui, une conquête à laquelle notre modèle social, si décrié par la droite, n’est pas étranger.

 

En même temps,  l’allongement de la durée de la vie ne s’accompagne pas toujours d’une valorisation des individus qui vieillissent. Sur d’autres continents, vieillir est positif, symbole de sagesse et d’expérience. Mais dans la société du live et du in, les cheveux blancs, les rides, les années sont souvent ignorées, voire stigmatisées. Notre modernité, consciemment ou non, organise une véritable exclusion de l’âge et du grand âge.

 

Telle est l’ambivalence du vieillissement, à la fois cadeau et discrimination. C’est aussi l’un des plus grands défis à relever par la puissance publique, celui du changement des conditions d’accès des seniors à l’autonomie, au logement, à la mobilité et aux soins, aux loisirs, ainsi que de leur indispensable financement. Ces enjeux seront au cœur du débat sur l’avenir des retraites. Les socialistes seront au rendez-vous des contre-propositions.

 

Nous serons fermes sur nos valeurs et inventifs pour trouver des solutions qui garantissent la pérennité et l’équité du système par répartition. Nous n’acceptons pas l’appauvrissement de nos aînés, qui enferme tant d’entre eux – et d’abord d’entre elles – dans des « minimum vieillesse » de quelques centaines d’euros par mois.

 

Nous le ferons sans céder aux ultimatums. Le gouvernement cherche à dramatiser pour imposer ses décisions à sens unique dans l’urgence quand il faudrait, comme le demandent les organisations syndicales, prendre le temps d’une véritable négociation pour trouver les voies d’une réforme juste et viable dans la durée. A cet égard, la statistique ne saurait remplacer la politique : le rapport du Conseil d’orientation des retraites (COR) est un élément parmi d’autres de l’évaluation financière et ne doit pas être instrumentalisé pour imposer des choix de société.

 

Les salariés et les retraités ne peuvent pas être les seuls sur lesquels reposent tous les efforts.  Réformer les retraites suppose d’introduire sans tarder de nouvelles ressources dans le système. Ce qui ne signifie pas de peser sans fin sur les salariés ni de diminuer les pensions.

 

Là se trouve le point aveugle des décisions libérales de 1993 de Balladur ou de 2003 de Fillon : jamais la droite n’a pris la peine de soumettre les très hauts revenus, les produits du capital financier ou de la rente à l’impératif de solidarité alors même qu’un million de retraités vivent sous le seuil de pauvreté.

 

Les pistes ne manquent pas : élargissement de l’assiette des cotisations à la valeur ajoutée, cotisations sur les stock-options et d’autres rémunérations non assujetties, abolition des privilèges fiscaux qui minent la cohésion nationale, surtaxe de 10 % de l’impôt sur les sociétés acquitté par les banques, affectée au fonds de réserve des retraites, etc. Les choix opérés devront être réévalués à étapes régulières, tant ils dépendront de l’évolution de la démographie, de la croissance, de l’emploi et de la masse salariale, sans pour autant remettre en cause la stabilité des droits indispensable à la confiance dans le système pour les jeunes générations.

 

Sans renoncer à donner plus de souplesse aux choix individuels et en tenant compte de l’hétérogénéité des parcours professionnels et de leur pénibilité, nous défendrons le maintien de l’âge légal du départ à la retraite à 60 ans – c’est-à-dire la possibilité de faire valoir ses droits à pension –, avec la possibilité de partir plus tôt pour ceux qui ont exercé des activités particulièrement pénibles.

 

Les Français savent que l’accroissement de l’espérance de vie et une arrivée plus tardive sur le marché du travail nécessitent pour beaucoup un départ réel après 60 ans : l’âge moyen de départ réel est déjà de 61ans et demi. Mais si l’âge légal était repoussé à 62, 63, 65 ans, comme le préconisent l’UMP et le Medef, des centaines de milliers de personnes qui ont commencé à travailler très jeunes seraient contraintes de faire 44, 45, 48 années de travail. Dans un marché du travail qui ne fait pas sa place aux seniors, combiné à l’allongement des durées de cotisation, cela se traduirait pour eux, avant tout, par une baisse des pensions que nous ne pouvons accepter. L’efficacité n’est pas, à nos yeux, le contraire de la justice.

 

Au-delà, chacun le sait : le bien-être des Français qui vieillissent ne sera pas assuré en comblant les seuls déficits comptables. L’allongement de la vie a fait naître d’autres déficits : d’utilité sociale pour les seniors, d’emplois qualifiés pour accompagner les mutations de l’âge, de liberté pour ceux, sans cesse plus nombreux, qui souhaitent rester à domicile, de logements et d’équipements adaptés aux personnes dépendantes, de soutien pour les familles confrontées à la maladie d’Alzheimer ou aux pathologies dégénératives, de valorisation accrue des filières gériatriques à l’hôpital ou encore de la reconnaissance du droit de mourir dans la dignité… Le progrès en âge fait émerger des aspirations mais aussi de nouvelles inégalités. Celles qui se révèlent quand la société se défait et se détache de ses plus anciens.

 

Mieux vieillir ensemble exige d’abord la possibilité de se « réengager ». Après le temps du travail, le temps des projets ! Forts de cette « vieillesse indépendante », les retraités demeurent des acteurs, même s’ils ne sont plus des actifs au sens où l’Insee les définit. Ils sont souvent des bénévoles sur lesquels beaucoup sinon tout repose, dans des associations, des municipalités ou des mutuelles, dans l’aide aux devoirs pour les élèves et le lien social pour les plus démunis, pour soutenir ici un jeune qui crée sa PME et conseiller là-bas une organisation non gouvernementale humanitaire.

 

Nos représentations sont à revoir, car les seniors soutiennent la société et ne se bornent pas à lui demander secours. En meilleure santé, de plus en plus longtemps, ils consomment, voyagent, épargnent, aident financièrement leurs enfants et petits-enfants. L’expérience est un atout, voilà la grande révolution ! Une société créative ne saurait se passer de ce capital. Encore faut-il que la société et que le politique considèrent l’âge pour ce qu’il est : une chance, non un fardeau. Reste qu’il n’est pas donné à tout le monde d’être délivré des enjeux du quotidien.

 

Mieux vivre le grand âge dans une société solidaire, c’est non seulement assurer des retraites décentes – nous en sommes encore loin pour des millions de nos concitoyens –, mais également offrir la possibilité à chacun de vivre et non de survivre, de se loger dignement, d’être soigné sans retard dans un pays qui n’accepte pas de devenir un « désert médical ».

 

Mieux vieillir exige aussi que les territoires, villes ou campagnes, s’organisent pour apporter des réponses personnalisées, humaines et de proximité, capables de satisfaire des besoins qui varient selon l’état de santé, la situation familiale. L’action publique doit apprendre à mieux conjuguer un habitat mêlant les générations, des soins à domicile (que l’Etat rationne encore), des accueils de jour (trop rares), des hébergements médicalisés plus ouverts sur le quartier ou le village. Oui, il est grand temps que la ville du XXIe siècle s’adapte aux âges et repense accès, déplacements et espaces collectifs pour apporter plus de douceur… et même de lenteur.

 

Mais il faut aller plus loin, vers une société du soin : une aide de qualité aux personnes fragilisées, le traitement des grandes dépendances, les soins corporels et vitaux quotidiens. C’est aussi mieux reconnaître, mieux former et mieux rémunérer ceux qui apportent ces soins et en exercent la lourde responsabilité. L’allongement de la vie a des effets économiques positifs grâce aux nouveaux emplois de proximité liés à l’aide à la personne.

 

J’invite, et ce sera un choix politique majeur de la gauche, à relancer des politiques publiques qui ne compressent pas ces emplois mais, au contraire, les sécurisent. Comment accepter, par exemple, le manque cruel de places dans les services de soins infirmiers à domicile ? L’allocation personnalisée pour l’autonomie, l’APA, en rendant solvable le besoin d’aide, a permis une formidable avancée. Encore faut-il que les conseils généraux qui la dispensent ne soient pas étranglés financièrement par les décisions aveugles de l’Etat !

 

Le moment est venu pour la France de dire quelle part des ressources nationales elle entend consacrer au vieillissement. Aux retraites  et à la révolution de la qualité des âges que nous voulons réussir. Soyons à la hauteur du futur.   Exerçons notre sollicitude pour construire « une société qui n’expulse pas ses aînés du monde des vivants », selon le mot terrible de l’anthropologue Maurice Godelier.

 

N’oublions jamais, non plus, qu’aucune allocation ne remplace les chaînes de soins, les solidarités familiales et amicales, l’attention du voisinage, l’engagement de la société tout entière. A ce prix, la réhumanisation de notre société prendra tout son sens. C’est ainsi que nous ajouterons de la vie aux années, et pas seulement des années à la vie.

 

Martine Aubry, tribune publiée dans Le Monde

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10 avril 2010 6 10 /04 /avril /2010 14:59

la-convention-pour-un-nouveau-modele-de-developpement-comme.pngL'objectif de la convention nationale pour un nouveau modèle de développement est à la fois simple et ambitieux : il s'agit de construire le projet des socialistes pour la France.

A cette fin, la convention présidée par Pierre Moscovici a mis en place 13 ateliers de travail sur la coopol : politique industrielle, social-écologie, fiscalité, Europe... nous avons essayé de dresser un tableau le plus vaste possible des problématiques qui attendent les socialistes en vue de 2012.

 

Pierre Moscovici, chargé de l'animation de cette convention, s'explique sur son blog pour donner les résultats du Bureau national du Parti socialiste, consacré en premier lieu à la présentation du programme de travail pour l'année qui vient par Martine Aubry :

 

"Notre « vivre ensemble », nul ne l'ignore, est compliqué... Avouons le, j'ai été surpris... en bien. Certes, je mentirais en vous disant avoir senti une unanimité complète. Celle-ci, au demeurant, serait très artificielle et ne serait en aucun cas souhaitable. Je le redis : de la diversité, de la confrontation sincère de points de vue parfois éloignés, voire opposés, naît une véritable richesse intellectuelle. Pour ma part, je ne suis jamais choqué par l'expression d'une nuance ou d'une alternative, dès lors qu'elle n'est pas factice ou tactique, j'en tire même des enseignements, je suis capable, si je suis convaincu, de faire évoluer mes propres positions. Il y eut donc, dans ce Bureau national, sur la base de la présentation que j'ai faite des travaux des ateliers, du plan envisagé et des grandes orientations à défendre, que je vous ai exposée sur ce blog, des remarques, des critiques, des accents : c'est bien naturel, et c'est la moindre des choses. Mais j'ai été frappé par l'ambiance de ces échanges, très sereine, très cordiale, très constructive, et surtout par leur qualité. Il n'y avait là aucune envie de démolir, aucune recherche d'affirmation stérile, mais une vraie discussion de fond, la volonté de procéder à des inflexions, des ajouts, des retraits, à partir d'une même ambition : bâtir un nouveau modèle de développement, un nouveau modèle de société, opérer de véritables transformations et non simplement mettre quelques rustines sur le pneu crevé du libéralisme. Bref, ce fut une discussion digne – ce n'est pas toujours le cas – d'un grand parti se préparant à l'alternance."

 

La vidéo du mode d'emploi par Pierre Moscovici est disponible ici

 

Au boulot!

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29 mars 2010 1 29 /03 /mars /2010 14:55

primaires.jpgLe porte-parole du Parti socialiste, Benoît Hamon, a évoqué lundi 29 mars "l"hypothèse" de primaires ouvertes en "trois temps" pour désigner le candidat de la gauche à la présidentielle 2012, avec un "premier tour éliminatoire" qui permettrait d'"égrener le nombre de candidats".
 
"La position vers laquelle tous convergent, c'est l'organisation de primaires en 2011, juste avant l'été ou juste après l'été", des primaires qui pourraient se faire "en trois temps", a-t-il dit lors d'un point-presse au siège du PS. Mais "pour l'instant, il n'y a pas de décision arrêtée", a-t-il ajouté, soulignant que "la convention sur la rénovation en juin prochain décidera des choix définitifs". L'objectif sera alors d'"arrêter le calendrier" et d'enclencher le processus de manière très concrète" avec notamment les appels à candidature, a-t-il dit.

Nouvel Observateur

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5 février 2010 5 05 /02 /février /2010 11:45

DSK AubryDominique Strauss Kahn et Martine Aubry ont une longue histoire politique commune. On a beaucoup ergoté sur les "coups de gueules" réels ou supposés entre Dominique et Martine mais assurément ces deux là font la paire. La période la plus marquante reste, bien entendu, leur participation au gouvernement Jospin. Les deux piliers de  l'économie et du social de la "dream team" ont activement pris part au cercle vertueux dont a bénéficié la France et les français durant cette période : massive créations d'emplois et 1 million de chômeurs en moins, croissance bien supérieure à celle de nos voisins qui a tiré l'Europe vers le haut, passage réussi à l'euro et mise en place de mesures phares comme les emplois-jeunes, la couverture maladie universelle et bien sûr les "35 heures". Cette réforme emblématique de celle que l'on appelle ou plutôt appelait la "dame des 35 heures" doit peut-être beaucoup plus à DSK qu'on ne le pense. La légende dit que DSK aurait soumis cette proposition sur un bout de nappe au cours d'un repas... info ou intox? Seules les personnes présentes pourraient nous répondre...

Le patron du FMI a salué hier l'action de Martine Aubry qui "réussit très bien" et se dit ravi que ceux qui en doutaient "se retrouvent aujourd'hui le bec dans l'eau". Mme Aubry, de son côté, affirmait dimanche: "il n'y aura jamais de problème entre Dominique et moi", "nous avons des valeurs communes qui nous amèneront à nous entendre toujours". Et DSK d'ajouter que ""A ce jour, j'ai l'intention de faire mon mandat, mais si vous me demandez si, dans certaines circonstances, je pourrais me reposer cette question la réponse est oui, oui je pourrais me reposer cette question"...

Au cours de l'été 2008, ces deux là s'étaient rencontrés au Maroc pour parler... avenir. Un pacte de Marrakech a t-il été scellé lors de ce week-end en famille? Voilà de quoi alimenter les colonnes de nos journaux et les... blogs pour quelques mois encore!

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13 janvier 2010 3 13 /01 /janvier /2010 08:00

coopolLa Coopol a ouvert ses portes au grand public mardi 12 janvier. Plus de 5000 membres étaient déjà sur le réseau avant cette ouverture.


Bien au delà du PS, la Coopol - abréviation de «coopérative politique» - est l'outil de ceux qui veulent débattre et agir à gauche. C’est un réseau ouvert à tous qui permet le débat, l’échange et le travail collaboratif et facilite l’organisation de l’action de terrain.


La Coopol, c'est un nouvel outil d’organisation et de mobilisation politique pour échanger en ligne et agir sur le terrain. Militants, sympathisants du PS ou de la gauche, ou citoyen curieux de débattre...: chacun peut s'inscrire pour participer à ces débats et se mobiliser dans des actions de terrain destinées à convaincre les Français: porte à porte, diffusion de tracts, actions militantes. 

 

La Coopol facilitera le débat sur les débats sur vos centres d'intérêts en permettant à chacun de s'organiser en groupe.

Pour le PS, la Coopol est une initiative unique de simplification de nos outils: toutes les sections et les fédérations vont désormais pouvoir utiliser un outil commun pour gagner du temps et de l'efficacité dans leur organisation. Moins de temps à gérer, plus de temps pour débattre et pour agir !

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1 décembre 2009 2 01 /12 /décembre /2009 17:05

Pour sa septième et dernière étape, le Tour de France du Projet des socialistes s’arrêtera à Rennes.
 

Les consultations-débats débuteront en présence de Martine Aubry le mercredi 2 décembre 2009 à partir de 18h00 à la Halle Martenot située Place des Lices à Rennes.

Cette dernière étape sera introduite par un film restituant les rencontres précédentes avec les Français autour de la question : quelle société voulons-nous pour demain?

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